
- Taille adulte : 12m x 10m
- Exposition : Soleil
- Feuillage : Caduc
- Rusticité : Rustique (T° mini : -15°)
- Humidité sol : Pas trop sec à frais
Acer freemanii 'Autumn Blaze'
Castanea sativa ou châtaignier est un arbre vigoureux, longévif (plus de 1 000 ans), à tronc spiralé lorsqu'il est vieux. Ces feuilles se reconnaissent facilement : oblongues à lancéolées, pouvant mesurer 20 à 25 cm de longueur pour 4 à 8 cm de large, aux nervures saillantes et aux grandes dents pointues, vert foncé luisant devenant roux doré en automne. Les fruits ou châtaignes, au nombre de 1 à 3, sont enveloppés dans une bogue verte et épineuse et se récoltent en automne. Les fleurs n'apparaissent que lorsque l'arbre a une vingtaine d'années. Les fleurs mâles sont disposées en longs chatons dressés et les fleurs femelles groupées par 3 sont situées à la base des chatons. Les fleurs sont parfumées, mellifères.
Le châtaignier est un arbre plutôt rustique mais il est sensible aux grands froids. Il apprécie les expositions ensoleillées et abritées. Dans ce cas, il peut être planté au nord de la Loire. Ce bel arbre au feuillage marcescent apprécie les sols à tendance acide. Les sols calcaires sont à proscrire.
Le châtaignier affectionne les terrains profonds, frais, acides (non calcaires), sableux, normaux à pauvres, perméables. C'est un arbre autofertile mais pour une bonne fructification, planter plusieurs variétés. Le châtaignier sauvage est un bon pollinisateur. Il craint les grands froids et le soleil brûlant. Préférez une plantation au sud de la Loire.
Connus essentiellement pour leurs fruits comestibles protégés par une bogue épineuse, les châtaigniers sont des arbres de belle taille pour la plupart, à croissance rapide, longévifs. Les feuilles, caractéristiques, sont longues, ovales, vert brillant, au bord dentelé. Les fleurs mellifères disposées en longs châtons pendants ne manquent pas de charme.
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Le Genre Castanea :
Environ 10 espèces (Zones tempérées de l'hémisphère nord). Arbre monoïque à feuilles caduques, fortement dentées. Fleurs mâles en longs chatons interrompus, dressés, 8-16 étamines, périanthe à 6 lobes. Fleurs femelles ordinairement par 3, à la base des chatons supérieurs, dans un involucre devenant coriace et très épineux (bogue), s'ouvrant en 4 valves à maturité. 6-9 styles. Fruit ordinairement par 3 (châtaignes)maturation annuelle. Germination hypogée.
Particularité de l'espèce Castanea sativa :
Arbre monoïque 25 m, à bois dur avec faible couche d'aubier. Devient centenaire dans les régions à climat doux et terrains siliceux d'origine granitique ou volcanique. Port naturellement élancé à l'état jeune, s'élargissant à l'état adulte. Enracinement pivotant. Rameaux ligneux de gros diamètre, écorce de couleur gris--vert. Feuilles 20 x 7 cm elliptiques, allongées, aiguës, à base atténuée, dentées, vert franc. Yeux triangulaires. Inflorescence apparaissant en juin sur bourgeons de l'année ; termina-les ou subterminales sur l'espèce indigène, subterminales ou latérales sur certains cultivars. Fleurs femelles en fascicule, à la base de chatons pendants androgynes. Après fécondation, chaque fleur femelle donne une bogue incluant fruit et graine Les bogues cloisonnées donnent plusieurs fruits appelés couramment châtaignes alors que celles non cloisonnées sont à fruit unique et donnent les marrons. Amandes enveloppées d'une membrane velue, le tan, épousant leurs contours. Ensemble du fruit, de forme elliptique recouvert d'une peau coriace, brune, avec un large hile à sa base et un bouquet de stigmates au sommet. Arbre forestier et fruitier devenu indigène dans le Bassin médit et répandu dans tout l'hémisphère boréal entre le 30e et le 50e parallèle. Se développe à l'état spontané jusqu'à 1200 m d'altitude, mais ne dépasse pas 600 m en production fruitière.
(Fevrier-Avril) Avant la reprise en végétation, tailler le bois malade ou mort et les branches se croisant pour ne garder que les branches vigoureuses et maintenir un beau port.
Pour assurer leur conservation, ramasser les châtaignes quotidiennement (ne pas les gauler) et les tremper aussitôt pendant 9 jours dans des bacs en bois ou en plastique, en changeant d'eau tous les jours. Éliminer les fruits qui flottent (véreux ou malades), les laisser s'égoutter, les ressuyer par ventilation d'air, les sécher et éliminer 3 semaines plus tard les fruits noirs (pourritures dues au Rhacodiella castaneæ et au Phoma endogena).
En culture fruitière, on utilise que des cultivars à bogue non cloisonnée. Progressivement, les vergers homogènes destinés à la production fruitière remplacent les plantations hautes-tiges dispersées. L'important est d'obtenir des individus résistants à la maladie de l'encre et au pourridié. Les porte-greffe utilisés actuellement sont soit C. sativa, sélectionné par 1'INRA, soit C. crenata (châtaignier japonais) ou encore des hybrides de C. crenata x C. sativa. Espacer les arbres de 10 x 10 m. Tailler des baliveaux en demi-tige (1,50 m) pour obtenir 3-4 branches charpentières inclinées à 40° par rapport à la verticale et constituer un gobelet ouvert. L'année suivante, rabattre en février ces charpentières aux 2/3 de leur longueur et ensuite épointer les sous-charpentières. Laisser alors la ramure se développer normalement et n'intervenir ensuite par élagage qu'en cas de confusion de branches vers le centre pour obtenir une ramure claire, pénétrable par le soleil.
Indépendamment du gel printanier, 2 maladies très graves, l'encre, due au Phytophtora cambivora, et le chancre du châtaignier (Endothia parasitica), causent de grands dégâts contre lesquels on lutte avec des porte-greffes résistants (châtaigniers japonais et hybrides). Le carpocapse, le balanin et les tordeuses attaquent surtout les fruits dans les régions à grand peuplement.
Pour assurer leur conservation, ramasser les châtaignes quotidiennement (ne pas les gauler) et les tremper aussitôt pendant 9 jours dans des bacs en bois ou en plastique, en changeant d'eau tous les jours. Éliminer les fruits qui flottent (véreux ou malades), les laisser s'égoutter, les ressuyer par ventilation d'air, les sécher et éliminer 3 semaines plus tard les fruits noirs (pourritures dues au Rhacodiella castaneæ et au Phoma endogena).
En culture fruitière, on utilise que des cultivars à bogue non cloisonnée. Progressivement, les vergers homogènes destinés à la production fruitière remplacent les plantations hautes-tiges dispersées. L'important est d'obtenir des individus résistants à la maladie de l'encre et au pourridié. Les porte-greffe utilisés actuellement sont soit C. sativa, sélectionné par 1'INRA, soit C. crenata (châtaignier japonais) ou encore des hybrides de C. crenata x C. sativa. Espacer les arbres de 10 x 10 m. Tailler des baliveaux en demi-tige (1,50 m) pour obtenir 3-4 branches charpentières inclinées à 40° par rapport à la verticale et constituer un gobelet ouvert. L'année suivante, rabattre en février ces charpentières aux 2/3 de leur longueur et ensuite épointer les sous-charpentières. Laisser alors la ramure se développer normalement et n'intervenir ensuite par élagage qu'en cas de confusion de branches vers le centre pour obtenir une ramure claire, pénétrable par le soleil.
La partie comestible est en réalité la graine ou amande plus ou moins farineuse et sucrée que l'on consomme fraîche cuite, grillée ou confite dans du sucre (marrons glacés). Les produits frais ne doivent pas dépasser 80 à 90 fruits au kg. Ceux destinés à la confection de marrons glacés sont d'un calibre en dessous de 60 fruits au kg
En culture fruitière, on utilise que des cultivars à bogue non cloisonnée. Progressivement, les vergers homogènes destinés à la production fruitière remplacent les plantations hautes-tiges dispersées. L'important est d'obtenir des individus résistants à la maladie de l'encre et au pourridié. Les porte-greffe utilisés actuellement sont soit C. sativa, sélectionné par 1'INRA, soit C. crenata (châtaignier japonais) ou encore des hybrides de C. crenata x C. sativa. Espacer les arbres de 10 x 10 m. Tailler des baliveaux en demi-tige (1,50 m) pour obtenir 3-4 branches charpentières inclinées à 40° par rapport à la verticale et constituer un gobelet ouvert. L'année suivante, rabattre en février ces charpentières aux 2/3 de leur longueur et ensuite épointer les sous-charpentières. Laisser alors la ramure se développer normalement et n'intervenir ensuite par élagage qu'en cas de confusion de branches vers le centre pour obtenir une ramure claire, pénétrable par le soleil.
La partie comestible est en réalité la graine ou amande plus ou moins farineuse et sucrée que l'on consomme fraîche cuite, grillée ou confite dans du sucre (marrons glacés). Les produits frais ne doivent pas dépasser 80 à 90 fruits au kg. Ceux destinés à la confection de marrons glacés sont d'un calibre en dessous de 60 fruits au kg
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